À bord d'un airbus A380, le commandant de bord fait une annonce:
-Mesdames et Messieurs, pour mon dernier vol, j'aimerais faire ce que, en trente ans de carrière, je me suis toujours refusé
à faire; un looping! Mais avant , j'aimerais avoir votre accord.
-le looping, le looping, le looping s'exclament les passagers emballés.
Le commandant de bord, ému se lance dans la figure de voltige aérienne et réussit un impeccable looping.
C'est alors qu'un type sort des toilettes:
-Dites donc, c'est pas bientôt fini vos conneries!
bonne journée à tous , attention si vous prenez l'avion!!!
le jeune homme a déjà choisi ses invités pour le mariage :
L'maître d'école et ses potaches Le maire, le bedeau, le bougnat Négligeaient carrément leur tâche Pour voir ça Le facteur d'ordinaire si preste Pour voir ça, n'distribuait plus Les lettres que personne au reste N'aurait lues Pour voir ça, Dieu le leur pardonne Les enfants de coeur au milieu Du Saint Sacrifice abandonnent Le saint lieu Les gendarmes, même mes gendarmes Qui sont par nature si ballots Se laissaient toucher par les charmes Du joli tableau
les voilà donc partis convoler en juste noces ,vous les voyez tout devant !
Nous sommes toujours sur l'étang de Chalonnes, là où il avait fait part de la bonne nouvelle à sa chère Mère!
cette histoire , était l'occasion de faire un petit clin d'oeil à Georges Brassens ,
C'est un couple de paysans qui a, depuis quelques années, une magnifique truie. Or, la dame, qui prévoit l'avenir et le business potentiel dit un jour à son mari
:
- L'Gustave, y faudrait absolument que la truie aie des petits.
- D'ju la Marie, c'est ben vrai, mais comment faut' y qu'on fasse ?
- Ben, tu prend l' bestiau et tu vas l' porter chez l' Fernand qu'a un verrat qu'a d' qoué.
Aussitôt dit, aussitôt, fait, l' Gustave embarque l' bestiau dans sa brouette et fait le voyage (5 km !) jusque chez l' Fernand.
Arrivé sur place, il explique ce qu'il veut et demande à son voisin:
- L' Fernand, comment qu' j' verrions qu' l' affaire est faite ?
- C'est simple, si d' main matin l' bestiau se roule dans la boue, c'est bon, s' y s' loule dans l'herbe, y faut revenir.
Voyage de retour (5 km !),l' brav gars se r'pose , et le lendemain matin, l' Gustave demande à la Marie :
- Qu' é fait-y l' bestiau ?
- Y s' roule dans l'herbe, l' Gustave !
- Crévindju mossi biesse , y va co devoir y aller ...
Le même manège se répète plusieurs jours de suite, et puis le matin, l'Gustave depuis le fonds de son plumard demande :
- Qu'é fait-y l'bestiau ?
- L'est déja dans la brouette, l' Gustave ...
Après avoir pris ma retraite, ma femme
ainsisté pour que je l'accompagne dans son shopping, chez Carrefour. Malheureusement, comme la plupart des hommes, je trouve cette tâche
ennuyeuse et préfère entrer et sortir rapidement.
Hélas, ma femme est comme la plupart des femmes,
elle aime faire du shopping pendant des heures et des heures!...Hier, ma chère épouse a reçu la lettre suivante de Carrefour.
Chère Mme Dupont,
Au cours des six derniers mois, votre mari a été à l'origine de
plus
d'un problème au sein de nos magasins. Nous ne pouvons tolérer ce comportement et
sommes contraints de vous interdire, à tous les deux, l'accès à nos magasins. Nos plaintes contre M. Dupont sont énumérées dans l'historique ci-après et documentées par nos caméras de surveillance vidéo.
Le 15
juin:Il a prit 24 boîtes de préservatifs pour les mettre au hasard dans les chariots des autres clientes quand elles ne regardaient
pas!
Le 2
juillet:Il a réglé tous les réveils dans le rayon des articles ménagers/literie pour qu'ils se déclenchent à intervalles de 5 minutes.
Le 7
juillet:Avec
une boîte de concentré de tomate, il a fait une traînée de jus de tomates sur le sol conduisant à la toilette des femmes.
Le 15
août:Il a monté une tente dans le département de camping et proposait aux autres clients d'amener des couvertures et
oreillers.
Le 23
août:Quand un employé a demandé s'il pouvait l'aider, il a commencé à pleurer et a crié, «Pourquoi vous ne me laissez pas tranquille?»
Le 4 septembre:Il a regardé directement dans la caméra de sécurité et
l'a
utilisée comme un miroir,pour allerchercher des
trésors dans son nez.
Le 11 septembre:
Il a manipulé des armes à feu
dans le département de chasse et pêche et a demandé au préposé dans quel rayon se trouvaient les antidépresseurs.
Le 18 octobre:
Il s'est caché dans un rayon de vêtements, à l'intérieur d'une longue robe et
lorsque les gens approchait, il criait «choisis moi, choisis
moi».
Le 21 octobre:
Quand une annonce est venue sur le haut-parleur, il s'est couché au sol en
position fœtale et a crié «Oh non! C'EST ENCORE CES VOIX!»
Et le dernier incident, mais pas le
moindre.
Le 23
octobre:Il est entré dans une cabine d'essayage, a fermé la porte, a attendu un certain temps, puis a crié très fort, «Hé! Il n'y a pas de papier cul ici!»
On peut vraiment s’amuser à la retraite, n’est-ce
pas?...
-Une dame âgée était appuyée sur la rampe d'un bateau de croisière tenant fermement son chapeau pour qu'il ne s'envole pas dans le
vent.
-Un jeune homme l'approcha et lui dit
:
"Pardonnez-moi madame, je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas mais saviez-vous que votre robe se soulève avec ce grand vent
?
- Oui, je
sais; répondit la dame, mais j'ai besoin de mes deux mains pour tenir mon chapeau.
- Mais madame, saviez-vous que vous ne portez pas de culotte et vos
parties intimes sont exposées à la vue de tous!"
- La femme regarda son interlocuteur de haut en bas et répondit :
"Cher jeune homme, ce que vous voyez plus bas date de 75 ans... et ce chapeau est neuf d'hier !"
phoo
prise lors de mon voyage en suisse, à Vevey exactament, le jour des 100 ans du bateau le Vevey ( voir avatar du blog)
Ho ! A la maison on a eu un truc terrible. On a reçus un canard vivant à la maison. On l’a reçu un dimanche matin ; ho ben Maman à dit : « on vas pas le tuer
aujourd’hui, on va le laisser trotter jusqu’à demain matin et pi demain matin on l’aura sous la main ».
Alors le Lundi matin, le canard était toujours vivant. On peut pas le retrouver, on l’cherche partout, il était monté sur le buffet didons, tout là haut sur le buffet de la salle à manger alors Papa il a dit :
« C’est pas dur, c’est ben simple je sais pas comment il a fait pour monter là haut mais je vois bien comment nous on va faire… y a qu’a mettre la table, sur la
table on mettre une chaise, sur la chaise on mettra un banc et on mettra même un bottin sur le banc et moi je monterai sur le bottin »
Moi je me suis dit :
« C’est peut-être la bonne qui va monter », maman a pas voulu et c’est là que le drame a commencé parce que c’est Papa qui est monté, enfin je ne sais pas pourquoi
je dis:
« il est monté », c’est une façon de parler parce qu’on a tous eu l’impression qu’il passait plutôt son temps à descendre ! des fois il est tombé avant de monter
sur la table, des fois, quand la chaise a été sur la table, Papa est monté sur la chaise, c’est là qu’il a commencé son numéro de voltige, avec accessoire et double saut périlleux carpé, alors là
ça été émouvant on sentait bien qu’il allait se passer quelque chose mais on pensait pas que ce serait aussi grave. Remarquez, de la façon dont-il s’y prenait, c’était forcé qu’on le ramasse à un
moment ou un autre, mais même un gars du métier aurait jamais pu penser que ça irait si vite.
Alors il a d’abord fait un rétablissement sur le dossier de la chaise avec menton dans un barreau. Extension de la jambe droite et recroquevillement du mollet
autour du bras gauche, ça ça a été sensationnel, et tout de suite après, glissade sur les rotules avec tournoiement dans l’air et réception au tapis avec mâchoires sur le radiateur, c’était
fantastique. Ça c’était que le début ça, et quand le soir, vers 5 heures, on a mis la chaise sur la table, le banc sur la chaise et Papa sur le banc, il y a eu un moment de silence, et quand Papa
a dit :
« vous allez me passer le bottin » , « de quelle année ? » qu’elle lui a demandé Maman, « alors passe moi celui de 50, parce que celui de 49 il manque 3 pages et ce
serait trop juste ! » ça vous prenait là ! ce monument que ça a été. Ce qui a foutu tout par terre c’est que chez nous, c’est pas haut de plafond et quand le vieux c’est relevé en disant :
« ça y est » PAF, y a eu comme un bruit de DCA avec chute d’un avion lourd de B212 et alors là… si Papa s’était pas accroché au buffet, y aurait eu que demi-mal, vu
que des suspensions, on en trouve encore et que des glaces de dessus de cheminée, on en trouve avec les bons de la semeuse, mais le fait était là et le pire, c’est que nous, on a rien vu du tout
parce que quand il est tombé, on était tous rentrés dans le buffet, Maman était juste là où y avait les raviers et la bonne s’était fourrée la tête dans le tiroir, là où y a les quittances et moi
j’étais dans le haut avec ma timbale en zinc de 1ère communion… un machin extraordinaire.
Toujours est-il que le mardi matin, le canard était toujours vivant, « alors là, maintenant, y a plus de gants à prendre avec le canard » qu’il a dit Papa « je vais
chercher la hache à fendre les bûches ».
Alors là, on a senti dans l’immeuble qu’il y avait comme une odeur de sang et y en a eu du sang, y’en a eu quand il l’a laissé tomber sur le pied de Maman, y’en a
eu quand il a filé l’manche dans l’œil à la bonne et y’a failli en avoir parce que moi j’ai vu passer la hache au moment où il a tapé sur le canard… le canard en plâtre, un faux qu’on avait sur
une cheminée, à ce moment là, la hache s’est démanchée et j’ai vu le coin qui m’est passé à 3cm de l’œil droit et il est rentré dans le baromètre. Vous dire quelle atmosphère qu’y avait à la
maison, c’était cornélien.
Enfin, le jeudi matin, le canard était toujours vivant, remarquez moi je sais ce qui c’est passé à ce moment là, « y a plus qu’une chose à faire » qu’il a dit Papa
« je vais chercher le fusil ! » « non » qu’elle y a dit Maman, qu’elle avait déjà vu les horreurs de la guerre « laisse moi embrasser mon fils » qu’elle a dit avant de se glisser sous la
bibliothèque. Alors là Papa il a mis 2 cartouches dans le fusil, 21 dans sa bandoulière et 18 dans la poche de son pantalon. Comme atmosphère s’était sensationnel, aux 15 premiers coups de fusil, alors là les 15 premiers coups de fusil ça a fait un scandale… du côté canard y’a rien eu,
mais à chaque coup de fusil y a quelque chose qui tombait, on se serait cru dans une baraque foraine à la foire du Trône, c’était extraordinaire. Vous pensez que nous on voyait rien à cause de la
fumée, mais on sentait qui s’passait quelque chose d’anormal à la fin quand Papa avait épuisé ses munitions. Il a ouvert la fenêtre, c’était pas la peine qu’il ouvre la fenêtre vu qu’il avait
viré tous les carreaux dés le début.
Et le vendredi matin, le canard était toujours vivant. Alors là, Papa à dit : « je vais faire appel à des chasseurs !» 14 qu’il en est venu, ils ont mis la hausse sur le fusil, ils ont coincé le canard sous l’évier et ils ont tiré tous les 14 ensemble, à 70cm de l’évier ça faisait
28 balles qui sont partis d’un seul coup et le seul qui a pas pris de plomb dans les pieds il en avait plein les fesses et y s’est demandé d’où ça venait vu qu’il était derrière tout le monde et
qu’il avait tiré dans le plafond.
Et le samedi matin, le canard était toujours vivant, alors depuis y continue et on le nourrit qu’avec des navets, que des navets, que des navets …
Jeune mamoune dynamique,manifestant des signes de curiosité, créatrice, intellectuelle, et philosophique.j'aime le contact, écouter, partage et transmettre mes connaissances